rechpub

Les membres de l’Ost du Griffon Noir, grâce -entre autres- aux travaux des pôles études, livrent ici les résultats de leurs travaux (sous la forme de fichiers PDF, de photos , de schémas ou de vidéos par exemple); considérant que le partage est dans l’essence même des Arts Martiaux Historique Européens, et suivant ainsi la Charte des AMHE, nous  mettons en ligne ici-même ses travaux pour contribuer à l’avancée générale des AMHE (à notre petit niveau), et soumettre ainsi nos visions sur telle ou telle discipline au regard de la communauté AMHEiste.

Vous trouverez ainsi transcriptions, traductions ou encore analyses dans cette rubrique. Cependant, nous ne considérons pas que ses travaux apportent une quelconque réponse ou vision définitive sur un sujet X, mais seulement une vision particulière à un instant T vue par le prisme des travaux de certains membres; chaque travail est bien entendu sujet à débat ou à discussion, et cela au sein même de l’Ost bien entendu.


L’épée longue selon Vadi


Ateliers I.33

Note de l’auteur sur les ateliers 1.33: Je vous prie de bien garder à l’esprit que les travaux présentés ici sont des illustrations d’ateliers, et doivent à ce titre être associées à ce contexte où elles servent simplement à appuyer une démonstration et/ou une explication technique.


Jean de Labat, Maître d’Armes Toulousain sous Louis XIV

Il a existé un maître d’armes Toulousain dont plusieurs œuvres sont parvenues jusqu’à nous: Jean de Labat, qui vécu sous le règne de Louis XIV, et qui nous a laissé trois traités: Abrégé de l’art en fait d’armes (1682), L’art en fait d’armes (1696) et Questions sur l’art en fait d’armes (1701), tous écrits et imprimés à Toulouse, portant sur la philosophie du combat pour les  Questions, sur l’épée de cour pour les deux autres.


Le patrimoine martial toulousain: la Confrérie de Saint Paul et l’Académie Royale d’armes de Toulouse.

La Confrérie de Saint Paul était congrégation de Maîtres d’Armes établie à Toulouse au XVIe siècle, et leur activité était réglementée par les Capitouls (Manuscrit HH69, archives municipales de Toulouse). Cette confrérie était une école d’armes, et l’on ne sait pas encore précisément ou ils étaient établis; nous n’avons pas de traces de la chapelle de Saint Paul citée dans les règlements de cette confrérie (la paroisse Saint Paul aux Amidonniers date de 1964); peut-être était-ce simplement une référence au Saint dont l’épée et l’attribut, ou plus certainement à la chapelle Saint Paul présente dans l’église Saint Pierre des Cuisines (clin d’œil de l’histoire, l’OGN à commencé ses activités à 50 métres de là). En ce qui concerne l’Académie Royale d’Armes, on ne sait, pour le moment, que peu de choses, si ce n’est sa localisation, entre le Capitole et Saint Pierre, près des Jacobins.

Retour en haut